J’ai beaucoup de souvenirs d’enfance liés au maquillage, bien que ma mère ne se soit jamais maquillée. Il y a eu les maquillages de papillons à la fête foraine, le premier fard à paupière blanc nacré acheté chez Yves Rocher pour me déguiser en Dame blanche, en fantôme ou en sorcière pour Halloween. Et puis, au collège, j’ai découvert Sephora. J’ai fait mes premiers pas dans le maquillage de grande. Je crois que rien ne peut mieux illustrer l’idée selon laquelle le collège est une période difficile que la description du crayon khôl bleu électrique que j’arborais fièrement. Si la sagesse n’attend pas le nombre des années, la maîtrise du maquillage et surtout la mesure, si.
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